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music, lyrics, illust : EmpathP
vocal : Cyber Diva, DEX, DAINA
date : 21 mai 2016
lyrics :
He said
"Oh Mary, contrary how does your garden grow?"
"Come with me, and you'll be, the seventh maid in a row."
My answer was laughter, soft as I lowered my head
*you're too late, I'm afraid, this flower's already dead
Resetting as I was, with blossoms in full bloom
(Blossoms in full bloom)
Never a chance to pause with magic to consume
(Magic to consume)
A shadow walked behind me offering his hand
But couldn't understand
He said
"oh Mary, contrary how does your garden grow?"
"come with me, and you'll be, the seventh maid in a row"
My answer was laughter soft as I lowered my head
*you're too late, I'm afraid, this flower's already dead
Scattering petals down the road without an end
(Road without an end)
Left on the battleground for one I called my friend
(One I called my friend)
Maybe he loved me as he took me by the hand
And tried to understand
I said
"oh Mary, contrary how does your garden grow?"
"stay with me, I can't see anywhere that we could go"
Their answer was laughter as darkness swallowed them up
*One more time, I'll be fine, sometimes kindness is enough
"oh Mary, contrary how does your garden grow?"
"don't leave me, please don't be the seventh maid in a row"
My answer a whisper soft as he lowered his head
*set them free, I'm sorry, this flower's already deadtraduction :
Il m’a dit:
“Je t’en prie, dis moi si… Tu sens ton jardin grandir.
Contre moi, tu seras, la dernière âme à souffrir”
Un sourire, un soupir, ces pétales étouffent mes larmes
“Il est l’heure, j’en ai peur, cette fleur déjà se fane”
L’efflorescence commence, témoin de votre rancune
Je peine à respirer… Cette magie me consume
Une ombre m’offre sa main, mais je n’ose (pas) la prendre
Ne pouvant me comprendre…
...Il m’a dit:
“Je t’en prie, dis moi si… Tu sens ton jardin frémir.
Contre moi, tu seras, la dernière âme à souffrir”
Un sourire, un soupir, ces pétales étouffent mes larmes
“Il est l’heure, j’en ai peur, cette fleur déjà se fane”
Ces chemins infinis, de (bourgeons) sont parsemés
Laissée seule dans ce combat, qu’un ami a déserté
Peut’être m’a-t-il aimée lorsqu’il m’a prit par la main
Il tente de comprendre, enfin...
(Sans) ...Je t’ai dis:
“Je t’en prie, ma chérie, Sens-tu ton jardin guérir ?
Restes-là, contre moi, Sans toi je ne sais où m’enfuir
Un soupir, un sourire, ces pétales dévorent ton âme
“Encore une fois, ça ira… La bonté triomphera ! ”
“Je t’en prie, dis moi si… Tu sens ton jardin périr ?
Ne pars pas ! Ne sois pas… la dernière âme à sourire”
Je murmure, mes blessures ne me prive pas d'espérer
“Ouvres la voie… Pardonnes-moi, enfin vous serez libérés ”
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music, lyrics : mayuko
Vocal : Kagamine Len
date : 12 mai 2010
ichi banme no boku
tada nanimo shirazu
utau koto ga suki na mama ni sakebi tsuzukta
sekai wa kon'na nimo monokuro ja naika
boku wa utai mashō
iro o tsukeru tame ni
ni banme no boku
daishō o shitte
sono uragawa ni obie nagara utai tsuzuketa
sekai wa kon'na nimo chiguhagu ja naika
boku wa utai mashō
tsunagi tomeru tame ni
san banme no boku
muchū de agai te
tsukami toreru mono o shinji te koe o karashita
sekai wa kon'na nimo urusai ja naika
boku wa utai mashō
ibasho o tsugeru tame ni
"rikai suru" "manabu" koto ga
izure mi o musubu no dato shite
sore nara
boku wa kuri kaeshi boku o korosu darō
yon banme no boku
ryōude o sage te
akirameru koto ga owari dewa nai to sakebu
sekai wa kon'na nimo gokusai ja naika
boku wa utai mashō
iro o fuyasu tame ni
go banme no boku
oshimai o shitte
sono uragawa o kangaeru koto o kyohi suru
sekai wa kon'na nimo garakuta ja naika
boku wa utai mashō
kusari hodoku tame ni
roku banme no boku
mō mi o yudane te
mukure te itamu nodo o nade te kuchi o tozashita
sekai wa kon'na nimo seijaku ja naika
boku wa utai mashō
kokoro no naka dake de
iro o ushinau koto ga
seichō dato iu naraba
mō nando jibun o koroshita no darō?
kieta bokura wa doko e ikō?
soshite umareta nowa
nana banme no boku
mujaki de okubyō daitan
mōmoku uchiki de mukuchi na boku
nantomo kokkei na sugata ja naika
umareta bakari no kimi e
shukufuku o kibō o rakutan o
"rikai suru" "manabu" koto de
iro o ushinai tsuzukeru nara
sore nara
boku wa nando demo umare kieru darō
nana banme no boku boku o koroshita► Kaito's cover ◄
► Piko's cover ◄
Traduction : (Kurotsuki92i)Le premier moi ne savait simplement rien
Il savait qu'il aimait chanter, il continuait de hurler
Ah, le monde est si monochrome, n'est-ce pas ?
Alors je continuerai de chanter pour lui redonner des couleurs
Le second moi connaissait le prix
Tout en ayant peur des conséquences, il continuait de chanter
Ah, le monde est si dépareillé, n'est-ce pas ?
Alors je continuerai de chanter pour les assembler ensemble
Le troisième moi luttait dans la stupéfaction
Il avait foi en ce qu'il pouvait attraper et avait atrophié sa voix
Ah, le monde est si ennuyeux, n'est-ce pas ?
Alors je continuerai de chanter pour leur dire où je suis
"La compréhension" "Les études"
Tout ça, est-ce que la bonté de tout le monde est reliée à eux ?
Si c'est le cas, je dois à plusieurs reprises me (me) tuer semblerait-il
Le quatrième moi gardait ses bras baissés
L'abandon n'était pas la fin criait-il
Ah, le monde est si coloré n'est-ce pas ?
Alors je continuerai de chanter pour augmenter la couleur
Le cinquième moi admettait sa fin
L'autre part des choses, il refusait de le considérer
Ah, le monde est si absurde, n'est-ce pas ?
Alors je continuerai de chanter pour les libérer de ces chaînes
Le sixième moi avait céder son corps
Tout en effleurant ses blessures, il gardait le silence
Ah le monde est si silencieux, n'est-ce pas ?
Alors je continuerai de chanter seulement du fond du coeur
Est-ce que la perte de couleur peut-être appelé l'âge adulte
Encore combien de fois dois-je me tuer, je me le demande ?
Et une fois disparu, où allons-nous ?
Et ainsi furent nés les sept moi :
Un innocent, un timide, un audacieux,
Un indifférent, un pudique, un silencieux moi
C'est une chose pathétique n'est-ce pas ?
Te laissant, à toi qui viens de naître,
Bénédictions, espoirs, découragements
Si la "compréhension", si les "études",
Continuaient de prendre les couleurs...
Si c'est le cas, je vais infiniment renaître (renaître) et disparaître semblerait-il
Le septième moi m'avait tué.
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